Ci-dessous des extraits de son intervention devant l'Université de Duke.
"Je suis honorée et fière d'être aujourd'hui parmi vous en tant que Libanaise parlant en faveur de la seule démocratie du Moyen Orient, Israël. J'ai été élevée dans un pays arabe et je voudrais vous donner ici un aperçu venant de l'intérieur du monde arabe. J'ai grandi au Liban où on m'a enseigné que les Juifs étaient "le Mal", Israël "le Diable" et que nous n'aurions la paix au Moyen Orient que le jour où tous les Juifs seraient morts, engloutis dans la mer (...). Ce sont les Israéliens qui nous ont sauvé au Liban. Ma mère a été blessée par un obus tiré par des "jihadistes" et elle a été transportée vers un hôpital israélien pour être soignée (...) On attribue les attentats-suicide au désespoir de l'occupation. Ceci est un leurre. Je vous rappelle que la première attaque terroriste commise par des Arabes contre des Juifs en Israël a eu lieu 10 semaines avant la déclaration d'indépendance. Elle a eu lieu un dimanche matin, le 22 février 1948, anticipant cette indépendance. Trois camions piégés ont explosé dans la rue Ben Yéhouda à Jérusalem et 54 personnes sont mortes et il y eut des centaines de blessés. Le terrorisme arabe n'est pas mû par le désespoir mais par une volonté farouche d'empêcher tout état juif dans la région (...) Il est grand temps de se lever pour soutenir et défendre l'état d'Israël, pays à l'avant-garde de la lutte contre la terreur islamiste."
Brigitte Gabriel s'est à nouveau exprimée en public pour défendre Israël, cette fois c'était devant des millions de téléspectateurs de la chaîne CNN, au cours de la guerre avec le Hezbollah. L'interview est bien sûr en anglais, mais avec sous-titres en Français. Elle n'a pas de propos très amènes pour l'organisation terroriste et son idéologie de haine ; pour l'actuel président libanais Emile Lahoud ("puppet" : pantin) inféodé à Damas ; ainsi, bien sûr, que pour le régime syrien. Elle rappelle notamment que, il y a plus de vingt ans, la paix avait failli être signée avec Israël, et que ce sont la Syrie et l'Iran qui l'ont empêchée avec l'assassinat du jeune président tout juste élu, Béchir Gemayel. Elle demande aux démocraties de faire pression sur la Syrie, et de laisser Israël briser le Hezbollah, dont l'idéologie de haine menace l'ensemble du monde. A noter que la séquence finit par des images de défilé de l'organisation chiite, avec portrait géant de l'Ayatollah Khamenei, son mentor iranien.
Même si Brigitte Gabriel n'est pas très représentative de ce que pensent aujourd'hui la majorité des Libanais - qui doivent (et on les comprend) en vouloir aussi à Israël pour les destructions dans leur pays -, ce qu'elle dit doit être pensé, au moins en partie et en silence, par beaucoup de ses ex-compatriotes.
"Je suis honorée et fière d'être aujourd'hui parmi vous en tant que Libanaise parlant en faveur de la seule démocratie du Moyen Orient, Israël. J'ai été élevée dans un pays arabe et je voudrais vous donner ici un aperçu venant de l'intérieur du monde arabe. J'ai grandi au Liban où on m'a enseigné que les Juifs étaient "le Mal", Israël "le Diable" et que nous n'aurions la paix au Moyen Orient que le jour où tous les Juifs seraient morts, engloutis dans la mer (...). Ce sont les Israéliens qui nous ont sauvé au Liban. Ma mère a été blessée par un obus tiré par des "jihadistes" et elle a été transportée vers un hôpital israélien pour être soignée (...) On attribue les attentats-suicide au désespoir de l'occupation. Ceci est un leurre. Je vous rappelle que la première attaque terroriste commise par des Arabes contre des Juifs en Israël a eu lieu 10 semaines avant la déclaration d'indépendance. Elle a eu lieu un dimanche matin, le 22 février 1948, anticipant cette indépendance. Trois camions piégés ont explosé dans la rue Ben Yéhouda à Jérusalem et 54 personnes sont mortes et il y eut des centaines de blessés. Le terrorisme arabe n'est pas mû par le désespoir mais par une volonté farouche d'empêcher tout état juif dans la région (...) Il est grand temps de se lever pour soutenir et défendre l'état d'Israël, pays à l'avant-garde de la lutte contre la terreur islamiste."
Brigitte Gabriel s'est à nouveau exprimée en public pour défendre Israël, cette fois c'était devant des millions de téléspectateurs de la chaîne CNN, au cours de la guerre avec le Hezbollah. L'interview est bien sûr en anglais, mais avec sous-titres en Français. Elle n'a pas de propos très amènes pour l'organisation terroriste et son idéologie de haine ; pour l'actuel président libanais Emile Lahoud ("puppet" : pantin) inféodé à Damas ; ainsi, bien sûr, que pour le régime syrien. Elle rappelle notamment que, il y a plus de vingt ans, la paix avait failli être signée avec Israël, et que ce sont la Syrie et l'Iran qui l'ont empêchée avec l'assassinat du jeune président tout juste élu, Béchir Gemayel. Elle demande aux démocraties de faire pression sur la Syrie, et de laisser Israël briser le Hezbollah, dont l'idéologie de haine menace l'ensemble du monde. A noter que la séquence finit par des images de défilé de l'organisation chiite, avec portrait géant de l'Ayatollah Khamenei, son mentor iranien.
Même si Brigitte Gabriel n'est pas très représentative de ce que pensent aujourd'hui la majorité des Libanais - qui doivent (et on les comprend) en vouloir aussi à Israël pour les destructions dans leur pays -, ce qu'elle dit doit être pensé, au moins en partie et en silence, par beaucoup de ses ex-compatriotes.
A voir et surtout à écouter !
J.C
J.C