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27 février 2014

Hamas, Hezbollah : La fin de la « lutte armée » ou la ruine


Le discours actuel des réseaux sociaux palestiniens et libanais indique qu’une tendance surprenante a émergé au cours des six derniers mois, avec des conséquences capitales pour la conception de la sécurité d’Israël et les défis stratégiques qui se dressent devant lui.

La résistance violente ( muqawama ) menée par le Hezbollah et le Hamas a perdu sa légitimité au sein, respectivement, de la société civile libanaise et de la société palestinienne. Le Hezbollah et le Hamas ont été fondés sur le principe de la lutte armée et de l’action violente, autant comme vision que comme un moyen de libérer les terres arabes de « l’occupation sioniste ». Cependant, depuis le déclenchement du « Printemps arabe », ces deux mouvements ont perdu l’essentiel de leur pouvoir politique, c’est-à-dire le soutien de l’opinion publique arabe, et, plus important que tout, le soutien intérieur de leurs populations.
La stratégie d’usure, par des embardées terroristes tactiques a, en effet, reposé, depuis 30 ans, sur des complicités communautaires, et le sens du secret clanique et familial qui, mettait, partiellement, le "martyr"-héros ou le dirigeant, à l’abri relatif des représailles : on se souvient du tollé soulevé par l’élimination de tel ou tel chef du Hamas, parce qu’il vivait et se protégeait, avec l’accord tacite (ou non) de la population que les voisins, enfants et femmes, lui servaient de "ceinture de sécurité", de bouclier humain. Ira t-on, à ce point, au sacrifice consenti, en cas de nouveau conflit, si on ne partage plus la vision du monde des commanditaires, déclencheurs des représailles ?
Le soutien massif, la sympathie et l’admiration qu’ils ont gagnés au cours des trente dernières années, sur le plan intérieur et dans le monde arabe, s’est dilapidé.

“ L’ennemi de l’Intérieur”

L’un des résultats les plus évidents du “Printemps Arabe” est le changement d’optique des sociétés civiles arabes, des problèmes extérieurs vers ceux, plus préoccupants, de l’intérieur – des politiques étrangères vers les affaires courantes qui agitent ces sociétés -. La société civile dans le monde arabe exige le redressement des injustices. Le nationalisme et l’Islamisme sont remplacés par une demande de démocratisation, de droits et de liberté.
Les sociétés civiles gazaïotes et libanaises, qui ont fait l’expérience de guerres civiles et de luttes violentes et terroristes contre Israël, ne sont plus avides de révolutions ou du renversement des structures politiques et sociales en place. En outre, comme le reflète le discours social des médiaux sociaux, ni les Palestiniens ni les Libanais ne croient plus dans la lutte violente comme moyen légitime, et capable d’être couronné de succès pour accomplir leurs réformes politiques, socio-économiques et nationales. L’analyse des courants d’opinion sur les réseaux sociaux, menée sur plus d’un million de Palestiniens (qui représentent approximativement 35% de la population palestinienne) et un demi-million de Libanais (15% de la population), révèle que, pour la première fois, au cours des 30 dernières années, « l’ennemi de l’intérieur » (le Hezbollah et le Hamas) est conçu comme plus dangereux que celui « de l’extérieur » (Israël).
La société civile au Liban, en général, y compris de larges portions de la population chi’ite, manifeste une opposition largement majoritaire à la politique du Hezbollah en Syrie et au Liban. L’annonce faite par le Président américain Barack Obama, à la fin août, que les Etats-Unis envisageaient de lancer une frappe militaire contre la Syrie, a mis en lumière la profondeur de la vague de critiques contre le Hezbollah, existant dans le pays. De nombreux hommes politiques libanais ont attaqué la politique de l’organisation chi’ite, et même l’allié du Hezbollah, Michel Aoun, membre de la Coalition du 8 mars, a annoncé que, si le Hezbollah intervenait en Syrie, durant l’attaque américaine, il se retirerait de la coalition –qui, de fait, serait automatiquement dissoute.
De nombreuses chaînes de télévision se sont mobilisées pour exercer une pression publique massive sur le Hezbollah, afin qu’il n’intervienne plus, dans la guerre civile syrienne et de nombreux commentateurs et interviewés se sont opposés publiquement à toute action militaire du Hezbollah contre Israël. Le public a « tourné le dos au Hezbollah » et certains ont même tweeté que « le Hezbollah est plus dangereux pour le Liban qu’Israël » . Effectivement, Israël est devenu marginal dans le discours intérieur libanais, les trois thèmes principaux étant : a) la guerre civile syrienne et ses effets sur le Liban, b) la détérioration de la situation sécuritaire et le conflit ethnique libanais ; c) et l’impact intérieur de l’affaiblissement politique du Hezbollah.
Un tableau identique s’applique au Hamas dans la Bande de Gaza. La vague des révolutions dans le monde arabe a conduit à un changement dans le discours intérieur palestinien : d‘une focalisation sur « Israël, l’ennemi extérieur » au « Hamas l’ennemi parmi nous » ; d’un débat sur la lutte nationaliste violente à une discussion sur les droits, la liberté et de meilleures conditions de vie. Le discours Internet révèle que, pour la première fois, depuis la prise de pouvoir du Hamas, une majorité parmi la population de Gaza rêve de renverser le régime du Hamas. C’est la première fois que l’opinion publique gazaïote a indiqué que le public perçoit la politique du Hamas comme une plus grande menace qu’Israël pour son bien-être et sa sécurité.
L’effondrement des Frères Musulmans d’Egypte a accéléré ce processus, et a rendu cruellement évident, sans erreur possible, que le slogan « l’Islam est la solution » n’a pas plus entraîné la prospérité économique, en Egypte que dans la Bande de Gaza.
Au contraire, la situation à Gaza s’est détériorée. L’armée égyptienne a lancé une offensive sans précédent contre le Hamas à Gaza, qui vise aussi bien ses cercles dirigeants, ses tunnels de contrebande d’armes que ses factions terroristes qui manœuvrent entre la Bande de Gaza et le Sinaï. Une « zone de sécurité » a été créée entre l’Egypte et la Bande de Gaza et l’opinion publique, en Egypte, a même commencé à exiger une punition collective à l’encontre de Gaza : ni carburant, ni gaz, ni nourriture. La frontière passant entre l’Egypte et la Bande de Gaza est presque complètement fermée (sauf dans les cas exceptionnels) et les médias d’Etat égyptiens (autant les réseaux sociaux que la presse), ont déclaré que le Hamas est une « entité terroriste » et que les Gazaïotes eux-mêmes sont des « terroristes ». Ils ont même déclaré que le Hamas et Gaza constituent actuellement un danger pour la sécurité nationale du Sinaï et de l’Egypte.

“L’ennemi extérieur"

Une majorité de la société civile libanaise perçoit actuellement la guerre civile en Syrie, la dissolution politique de la Syrie et la consolidation des mouvements radicaux appartenant à al Qaeda comme les véritables dangers pour la stabilité et la sécurité du Liban. Pour sa part, le Hezbollah est inquiet pour la survie du régime Assad, la préservation des routes de contrebande d’armes de Syrie vers le Liban, et des résultats d’un éventuel accord futur en Syrie.
Alors qu’Israël n’est pas considéré comme une menace immédiate pour la survie du Hezbollah, un effondrement de l’actuel système en Syrie et l’émergence d’un nouvel ordre qui comprenne les mouvements jihadistes sunnites, en proximité de la frontière libanaise, mettent directement en péril la sécurité du Liban en général et celle du Hezbollah et de la population chi’ite, en particulier. En plus de cela, parmi les Chi’ites et les partisans du Hezbollah, la muqawama ("résistance" armée) a été reléguée à la troisième place de la liste des priorités, derrière l’intervention du Hezbollah en Syrie et les efforts pour assurer la survie du régime Assad ; les politiques internes au Liban et les problèmes liés à la population chi’ite face aux mouvements du Jihad sunnite. Lorsque le public libanais parle d’un ennemi extérieur, cela ne fait, par conséquent, pas référence à Israël.
Certains Libanais considèrent le régime Assad comme la principale menace, alors que les autres redoutent les mouvements jihadistes radicaux sunnites, opérant actuellement en Syrie.
La vaste majorité du discours social dans la Bande de Gaza concerne, actuellement, l’Egypte et sa politique envers Gaza. Nombreux sont ceux, sur les réseaux sociaux, qui affirment que la politique de l’armée égyptienne envers Gaza est plus dure que celle d’Israël. Le public gazaïote objecte contre les « abus égyptiens » et les sanctions drastiques imposées à l’encontre la Bande de Gaza, qui la transforment en une « prison » avec des interruptions longues d’électricité et, certaines fois, plus d’accès à l’eau potable. On voit souvent des phrases comme « l’Egypte est devenue le geôlier de Gaza » et « ils nous affament et nous punissent », sur les réseaux sociaux. La plupart des manifestations, aujourd’hui, dans la Bande de Gaza, se tiennent sur la frontière de Rafah, qu’elles soient organisées par le Hamas ou par des Gazaïotes exigeant un changement. Et, tout comme au Liban, Israël est relégué à la quatrième place des préoccupations du discours public, derrière : a) la politique égyptienne envers Gaza ; b) la détérioration de la situation économique ; c) la protestation citoyenne contre le Hamas ; d) Israël. Si « l’ennemi parmi nous » est le Hamas, « l’ennemi du dehors » est l’Egypte, non Israël.
Réforme ou effondrement.
Les discours intérieur actuel, portant sur ces deux mouvements de muqawama (« résistance », lutte armée), sur les réseaux sociaux libanais et palestiniens, suggèrent qu’il n’y a que deux options possibles pour l’avenir de ces mouvements : réforme et transformation ou effondrement.
Le Hezbollah est l’élément qui dispose de la plus grande puissance militaire au Liban ; la même chose est vraie pour le Hamas à Gaza, et, par conséquent, aucun mouvement local, ni milice n’est en mesure d’affronter ces mouvements pour les renverser directement.
Quoi qu’il en soit, sans légitimité internationale, arabe, ni en termes de politique intérieure, ces deux mouvements manquent de puissance socio-économique, et perdent ainsi leur capacité à exercer une influence politique dans les zones sous leur contrôle.
Selon le discours des réseaux sociaux, si des élections avaient lieu, actuellement, au Liban et dans la Bande de Gaza, ni le Hezbollah ni le Hamas ne l’emporteraient. C’est la première fois que ce ressentiment très répandu au sein du public résonne avec force, en même temps que l’impression que la moindre tentative de l’une de ces organisations de détourner l’attention publique de leurs propres faiblesses, en activant un nouveau cycle de violence contre Israël, ne ferait jamais que hâter leur chute.

Est-ce la fin de la Muqawama ?

Le discours des médias sociaux pointe ainsi trois conclusions.
La première : les publics gazaïote et libanais ne croient plus que la lutte armée puisse être un moyen efficace pour réaliser leurs aspirations sociales, économiques et nationales. Dans le dialogue sur les médias sociaux, une demande sociale de lutte violente contre Israël n’existe plus .
Deux : ces deux mouvements perdent leur puissance et leur attrait politique. Les slogans utilisés par le Hamas et le Hezbollah : « L’Islam est la solution » et « l’Idéologie fondée sur la lutte armée » perdent à vue d’œil leur légitimité.
Trois : Au bout du compte, ce deux mouvements devront réviser et réformer leurs politiques internes et externes. Sans quoi, il est fort probable que leur popularité continuera de s’effriter et qu’ils finiront par s’écrouler.

Orit Perlov

Adaptation : Marc Brzustowski.

Article original : INSS Insight No. 473, 8 octobre 2013 INSS

The Institute for National Security Studies.

24 février 2014

Infographie : quel est le style "convenable" pour les femmes ?



Quel est le style vestimentaire qui convient pour une femme ? Cette enquête, menée dans sept pays musulmans, a suscité un grand intérêt à travers le monde. Le Pew Research Center américain a interrogé le directeur de l'enquête sur les méthodes et le déroulement.

Pourquoi avez-vous soulevé la question du style vestimentaire féminin musulman dans votre enquête ? Qu'espériez-vous apprendre ?
Mansoor Moaddel* : Les objectifs principaux de ce projet sont : 1) expliquer les variations du fondamentalisme religieux dans les sept pays concernés par l'enquête, 2) déterminer l'étendue de la pénétration des valeurs occidentales dans ces pays et 3) montrer les variations d'attitude parmi les personnes qui vivent dans ces pays quant à des questions comme l'égalité des sexes, la laïcité et la religion.

Dans les années 1920, l'avènement d'un Etat laïque moderne en Egypte, en Iran et en Turquie a créé un contexte qui a permis aux femmes de s'engager dans des mouvements pour leurs droits. En Egypte, après la déclaration d'indépendance de 1922, Huda Shaarawi a fondé l'Union féministe égyptienne et renoncé à son voile, et nombre de femmes des classes aisées ont suivi son exemple. En Iran et en Turquie, l'Etat a eu pour politique officielle de forcer les femmes à renoncer au voile.

Pour maintenir l'institution de la suprématie masculine, les fondamentalistes musulmans ont attaqué le mouvement des femmes sur la question qu'ils pensaient la plus fragile – la liberté de s'habiller comme elles l'entendent. L'ayatollah Morteza Motahhari, religieux iranien et l'un des principaux porte-parole du fondamentalisme chiite, a recadré le débat sur le voile en faisant de l'absence de voile l'équivalent de la nudité. Et cela fait plus de cent ans que pontes et gens ordinaires débattent de la légitimité du voile.

On ne constate pas de grande différence entre les sexes dans les réponses concernant le vêtement féminin.
Il n'y a pas de différences importantes dans les préférences entre hommes et femmes, sauf au Pakistan, où les hommes préfèrent les voiles les plus conservateurs [alors qu'au Liban et en Tunisie, les hommes sont plus antivoile que les femmes]. Cependant hommes et femmes divergent sur le droit des femmes à s'habiller comme elles veulent. Les femmes y sont plus fortement favorables que les hommes dans les sept pays. Les personnes ayant fait des études supérieures soutiennent davantage le droit des femmes à choisir, sauf en Arabie Saoudite. [Le Liban est le seul des sept pays où le pourcentage, hommes, femmes confondus, des antivoiles est majoritaire.]

Pourquoi avez-vous choisi d'utiliser des photos et des illustrations de vêtements pour poser les questions ?
En montrant ces images aux personnes sondées, nous faisons entrer six questions dans une seule. Il n'y a pas de malentendu possible sur le type de voile. Nous comprenons ce que veut dire la personne sondée quand elle pointe l'une des six images pour désigner un style de vêtement féminin convenable. Dans nos enquêtes précédentes, nous avions du mal à interpréter des réponses comme "il est important que les femmes observent le hijab islamique."

Les images et les photos permettent parfois de mieux mesurer et comprendre la perception qu'ont les gens d'une question, d'un événement voire d'une institution sociale. Les gens jugent souvent les choses telles qu'elles leur apparaissent physiquement.

Il est également intéressant d'examiner les réponses en fonction de la religion du sujet. Y a-t-il eu des résultats surprenants dans la composition des pays que vous avez étudiés, par exemple l'Egypte, l'Irak, le Liban ?
Les différences ne sont pas tellement importantes entre chiites et sunnites. Les différences en Arabie Saoudite sont très intéressantes. Les Saoudiens [tous milieux confondus] soutiennent davantage la liberté de choix que les Irakiens, les Egyptiens et les Pakistanais, mais sont plus conservateurs en termes de vêtement. Une surprise : les Kurdes irakiens sont devenus plus conservateurs. Dans les enquêtes précédentes, ils étaient en train de devenir plus tolérants. La tendance est en train de s'inverser. [En Irak, 15% des Kurdes sont pour le voile intégral et 2 % contre, mais 7% des Kurdes contre 3% des Arabes sont contre tout voile.]

Les hommes ont-ils été interrogés par des hommes et les femmes par des femmes ? Si oui, pourquoi ?
Dans certains pays du Moyen-Orient, un homme peut s'offusquer si sa femme ou sa fille est choisie au hasard pour un entretien et pas lui. Dans ce cas, les interrogateurs ont eu pour consigne de l'interroger aussi sans que ses réponses soient incluses dans les données analysées. Dans certains cas, le tuteur masculin n'autorise pas les entretiens en privé.
Dans certains pays, l'Arabie Saoudite par exemple, interrogateurs et sujets sont du même sexe. Au Liban et en Turquie, ce n'était pas toujours nécessaire.

Dans un environnement politique et social autoritaire, la probabilité est plus élevée que les gens falsifient leurs vraies préférences. Pour remédier à ce problème, on peut entre autres interpréter les données recueillies à la lumière d'autres recherches, par exemple les travaux d'historiens et d'anthropologues.

L'autre moyen, c'est de formuler plus d'une question sur le même sujet.

Quand une femme était interrogée chez elle, son mari ou un autre homme de la famille était-il présent ?
Dans certains pays, oui et nous avons relevé ces cas.

Avez-vous eu des surprises avec les résultats ?
Les conclusions de l'enquête réalisée en Arabie Saoudite sont particulièrement intéressantes. Si plus de 70 % des sujets considèrent comme convenable le vêtement le plus conservateur (images n° 1 et 2), ils sont bien plus nombreux (47 %) que les Egyptiens (14 %), les Irakiens (27 %) ou les Pakistanais (22 %) à trouver que les femmes devraient pouvoir s'habiller comme elle l'entendent.
Ces deux éléments sont difficiles à concilier. La recherche sur l'opinion publique nous a appris que les gens ont simultanément des opinions contradictoires. Néanmoins, il y a des preuves significatives que l'opinion saoudienne soutient les valeurs progressives de l'individualisme social et de la démocratie et souhaiterait que les institutions religieuses interviennent moins dans la vie quotidienne.
Les Saoudiens sont plus nombreux par exemple que les Egyptiens, les Irakiens, les Tunisiens et les Pakistanais à trouver que l'amour est la base du mariage. 70 % d'entre eux considèrent que la démocratie est la meilleure forme de gouvernement. Leur confiance à l'égard des institutions religieuses a de plus fortement baissé entre les enquêtes de 2003 et 2011.

Note : Mansoor Moaddel est professeur de sociologie à l'université du Maryland et directeur de l'équipe qui a mené l'enquête. Celle-ci a été menée par l'Institut de recherche sociale de l'université du Michigan.

Courrier International, 5 février 2014

23 février 2014

Report de mon émission avec Jean Laloum, le 9 mars prochain

Gros problèmes dans le studio de Judaïques FM ce matin ... J'en suis désolé, mais je n'y suis pour rien !
 
En résumé, l'ordinateur qui pilote les diffusions des enregistrés a déclenché tout seul un bobino musical qui a coupé sans arrêt mon propre préenregistré. 
Toutes mes excuses, au nom de la station.

L'émission sera bien entendu reprogrammée le dimanche 9 mars. 
Merci à celles et ceux qui étaient à l'écoute, et rendez-vous dans deux semaines !

J.C

Encore un article publié sur "Temps et Contretemps" : l'avenir de la révolution syrienne



Sur  le blog israélien francophone de mon ami Jacques Benillouche, un nouvel article publié lundi 10 février sous ma signature : intitulé "L'avenir de la révolution syrienne", il s'agit du résumé de l'entretien avec mon invité Jean-Pierre Filiu, universitaire, orientaliste, autour de son émouvant livre de témoignage "Je vous écris d'Alep". Bonne lecture, et n'oubliez pas que vous pouvez aussi avoir accès à l'ensemble des archives de mes articles sur "Temps et Contretemps", en cliquant sur l'icône correspondante en haut de la colonne de gauche ...

Vous trouverez l'article sur ce lien .

J.C