Pour rappel, ce dessin - extraordinairement osé, dans un pays musulman et qui plus est maintenant gouverné par un parti islamiste - dénonce le procès qui a suivi la diffusion sur une chaîne de télévision du dessin animé "Persépolis", où la figure divine apparait sous des traits humains, ce que les intégristes considèrent comme un sacrilège vis à vis du Coran. Le patron de la chaîne tunisienne Nessma, Nabil Karoui, est poursuivi pour "atteinte aux valeurs du sacré".
J.C
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