Bonjour aux fidèles lecteurs
de retour sur le blog !
De retour à la barre après
trois semaines de vraies vacances, certes non exotiques mais qui m'ont vraiment
fait du bien. Les ami(e)s qui me suivent sur Facebook le savent déjà, je suis
passé par des épreuves me donnant envie, à la fois de me reposer dans
l'immédiat mais surtout de prendre un peu plus de recul pour l'avenir : cela
passera, petit à petit, par l'abandon de fonctions multiples qui me font
souvent douter d'être à la retraite ; cela passera, aussi, par le choix de
publier "moins et mieux"(trois nouveautés maximum par semaine sur le
blog, mais plus d'articles originaux sur les médias qui m'accueillent,
et dont je donnerai les liens ici).
Première mise en pratique de
ces bonnes décisions : après l'horreur de l'attentat de Nice, le mois d'août
aura vu un étrange sujet en tête de gondole sur nos médias, celui du Burkini.
Je ne reviendrai pas sur ce feuilleton, ne pensant pas apporter plus de valeur
ajoutée après tant d'arguments et de contre arguments. Mais, dix jours après la
fameuse décision du Conseil d’État, je me limiterai à reprendre ici et à la
suite, un entretien publié par le "Figaro", et où s'exprime Catherine
Kintzler, philosophe, spécialiste de
la laïcité. Un seul commentaire : je me reconnais tout
à fait dans ses propos.
Merci
pour votre fidélité, et bon retour sur mon blog.
J.C