Destructions à Gaza City
Mille merci aux lecteurs
fidèles revenus en ce dernier jour du mois d'août.
Un mois marqué, hélas et
comme le précédent, par le presque interminable round de violences entre Israël
et le Hamas : quasiment 8 semaines, qui ont vu publier sur le blog uniquement
des articles liés à cette actualité là, et encore de manière non continue car
j'ai été absent de Paris à plusieurs reprises.
Je ne reviendrai pas
maintenant sur ce conflit et sur toutes les leçons qu'il faudra en tirer, car
ce sera bien sûr le sujet de mon émission de la rentrée dimanche prochain, une mission
que je vous présenterai demain.
Mais je profite de cette
publication pour vous signaler trois articles sous ma signature, publiés sur
l'excellent blog israélien "Temps et Contretemps" - en lien permanent
-, et qui ont été un peu mes analyses au fil de l'eau sur cette guerre inattendue
:
- "Un
paysage diplomatique rassurant, mais fragile" reprenait en fait un
texte déjà publié ici le 20 juillet ; en gros, mon analyse des rapports de
forces régionaux a été validée par les 50 jours de conflit, qui ont vu dans le
monde musulman l'axe "Egypte-Arabie-Pays du Golfe" l'emporter sur
celui associant la Turquie et le Qatar ;
- "Levée
du blocus de Gaza : exigence humanitaires et sécuritaires" reprenait
un autre texte publié, lui, le 10 août sur le blog ; j'ai essayé de présenter
de façon concrète les enjeux sécuritaires du fameux blocus, jamais détaillés
dans nos médias nationaux ; l'article publié sur "Temps et
Contretemps" est plus complet, car j'ai également évoqué à la fin deux
acteurs incontournables, l'Egypte et l'Autorité Palestinienne ;
- Enfin, "Gaza
: démilitarisation et force de dissuasion" est un article totalement
original, mis en ligne sur ce site ami le 27 août, soit juste avant le
cessez-le-feu que l'on espère final. Désarmement du Hamas, présence de forces
internationales pour garantir la paix dans le Territoire palestinien et au
delà, autant de perspectives sympathiques mais bien théoriques : en tout cas, j'ai
essayé de démontrer pourquoi.
Bonnes lectures !
J.C