Je cesse aujourd’hui le « jeûne de la parole » que je m’étais imposé tout au long du nouveau « round » entre Israël et le Hamas, après être déjà revenu, progressivement, sur Twitter puis sur Facebook.
Je le fais en publiant ce dessin sans paroles, reflet d’une réalité vécue et revécue au cours des épisodes précédents de ce conflit – sans parler des nombreuses fois où la milice islamiste a bombardé, sans préavis, les villes les plus proches de la frontière.
Cette dissymétrie n’est qu’une des facettes d’une guerre existentielle pour l’Etat hébreu, et je me suis accordé le temps pour établir un premier bilan, avec le recul que l’on peut avoir maintenant : et il y aura une série d’articles publiés sur « Temps et contretemps », puis sur le « Times of Israël », à partir de la semaine prochaine.
J.C